je suis entièrement d'accord avec toi je te réponds par un autre poème
Jamais ce ne sera, les filles de magazines,
Simple passade et petites amourettes,
Que ton coeur accepte, mais point ne se résigne,
De ces produits avariés, ces beautés en vignette.
Tu laisses aux affamés,
Tout ces troupeaux sur clichés,
Ton âme, non, ne pâlirait,
Devant ces pâles fleurs rosées.
Oui, ton coeur est lui bien trop profond
Pour succomber à ces poupées sans plis,
Qui de leurs apparences ne sont,
Que les esclaves de leurs panoplies.
Divinement grandes, sublimement minces,
Bien trop maigres, elles ne sont que l'objet,
De l'appareil pour qui elles en pincent,
Sur magazines, elles sont photographiées.
Dans ce monde où l'image sublime,
Des femmes avec des corps si parfait,
Nos ados que le miroir dépriment,
Sont punis devant l'illustration qui naît !
jess