J'ai couru dans la nuit m'éloignant de mon rêve,
Je me suis essoufflée à force de courir
J’ai rêvé que des vagues devenaient si rebelles
Qui inondaient la ville où nous allions périr.

J'ignore la raison de ce rêve si étrange
Heureusement! n’était qu’un cauchemar
La pollution de la mer parfois me dérange
Et je la crois capable d’arriver jusqu’à là…

Délicieux cauchemar
J'ai couru malgré moi,
Sans fauteuil roulant
De la peur, de l'effroi
J'ai couru tellement!
J'avais mal en me levant
A mes jambes, étonnant!
Ne c'est pas?

Paquita

Oui Paquita c'est vraiment un délicieux cauchemar, de pouvoir courir en oubliant le fauteui où l'on est cloué.Merci pour ce très joli partage poétique.
Mes bisous.

Capricorne

oui un délicieux cauchemar

Merci capricorne et Karine...

Bonsoir Paquita, Hé ben! ce rêve où la peur panique te faisait courir, c'est peut-être ton réveil qui est redevenu cauchemar?

ben oui Georges lorsque j'ai vu que je ne marche pas, mais ce qui est drôle c'est que lorsque je rêve je ne suis jamais en fauteuil, pas plus tard que cette nuit derniere j'ai courrais encore dans un autre rêve...

Notre réalité nous assaille même en dormant.

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le subconscient ne chôme pas...Merci crisroche...