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Un pays riche
Un pays d’avenir
Vous venez de citez les fautifs
( par degrés) les revers accumulés
La médaille je voix que Boumediene
Rappel toi de EL HAMRA
Plus loin encore
Les guerriers qui ont fallais à leurs missions
En raflant les butins oubliant leurs devoir
Voir mon poème sur site en langue étrangère
LIMAN ABOUHOU
LE PLAISIR DE LIRE

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les années de disette dictent les poètes

Je pense que les deux sont intriqués, frère de ma terre. mais le peuple y est pour beaucoup. Les malheurs qui s'abattent sur les esprits dont les conséquences noient la population dans la lassitude et les perversions de tout genre sont surtout dûe, à mon avis, à la préparation catastrophique, morale et sociale, des nouvelles générations et je parle en l'occurence d'un secteur que tu connais bien qu'est l'éducation. d'autres secteurs y sont également pour quelque chose mais leur impact est moindre comme la justice et la presse, l'immaturité d'un peuple en majorité s'est retrouvé au 21ème siècle et ouvert sur un monde où le matérialisme prime et où le soin des apparences devant être le premier et l'éternel souci de tous.

Paix et Gloire à notre pays.
Rachid.

Mon cœur remonte à la genèse
Des glaces fondues sur de la braise,
Prend au volcan ses laves chaudes
Et à la neige ses émeraudes.

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Doïna


http://horslesmurs.ning.com/profile/DOiNAMARIATUDOR

Eternellement amoureuse du Temps et de l'Espace qui m'hébergent grâcieusemant dans l'Univers

Kader, mihoubi, Rachid, j'ai lu le poème et vos commentaires éclairés qui me permettent d'avoir une juste vision de l'âme de votre pays.
HONORE

Merci à vous pour la chaleur des commentaires...

Kader...

Chers frères, de tout coeur avec vous.
L' Histoire toujours a rendez vous.
Elle ne saurait longtemps tarder,
De voir nos enfants poignardés!
Si les virus ne sont exterminés,
C'est tout un peuple qui se sent miné!

Fraternité!

Je ne pense pas que cet état de choses soit uniquement le fait de votre pays. Nous avons nous aussi nos problèmes avec cette société du "paraître" où seules les apparences sont prises en compte... et les mêmes problèmes (ou presque) avec les jeunes générations. Si vous avez l'occasion de lire les journaux français, il ne se passe pas une semaine sans qu'un éducateur (instituteur, professeur, principal de collège) n'ait affaire à la violence des élèves...

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.