J'ai senti mon coeur se briser
Sans qu'il ne saigne.
Il y avait tant d'éclats
Que mon âme a pleuré.

J'ai laissé cette chaleur
Se glisser dans mes veines
Et j'ai aperçu la lumière.

J'aurais pu dire ce qui m'arrivait
J'aurais pu dire ce que je ressentais
Mais j'ai gardé le secret
Et si je pars, est-ce sans regrets ?

J'ai senti mes mains bouger
Sans même les contrôler
Et je suis resté figé.

J'aurais pu trouver toutes les raisons
Mais aucune n'y suffirait.

J'aurais pu dire que la rivière
Dans laquelle je me suis noyé
Était les larmes que mon corps a versées.

06/10/08

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Jer
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La majorité de mes textes ne sont pas des vécus

"Et par delà l'horizon aux sons inaudibles
Je glisserai ma plume pour t'écrire des rêves indicibles"
Textes sous CopyrightFrance

Il faut avoir du courage,justement pour ne pas le faire,
courageeeeeeeeee

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Un joli texte malgré le désespoir,

j'ai aimé l'écriture, j'ai entendu tes pleurs.

J'aurais pu ne pas entrer,
Mais alors je n'aurais pas vu couler
Toutes ces larmes sur le papier...


Alain

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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!

Un écrit dont j'ai beaucoup apprécié la forme ,ainsi que le fond car malgré une très grande nostalgie,il est très bien écrit!!

"les chants désespérés sont les chants les plus beaux "dit le poète
je confirme

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L'emploi des diverses formes du «passé» et ce conditionnel antérieur pousse le poème hors du temps et lance un appel à une forme de nostalgie fort questionnante.

Bravo,
LeCrapaud

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Saute crapaud, les chemins sont beaux,
En été y’a pas d’cahots,
L’hiver en bedaine, don daine,
L’été en buggy, don dé.


(Vieille chanson scoute)
LeCrapaud