Dans ton poème émouvant, je relève plusieurs allusions à la solitude de la vieillesse.
Il est bon de le souligner, en ce temps qui valorise surtout la jeunesse et l'exploitation de son alléchant dynamisme productif ! Nombre le convertissent en espèces trébuchantes...
Et il n'y a pas trop loin à regarder : ma belle-mère, veuve depuis une soixantaine d'années, a beaucoup souffert de ce fléau. D'autant que, sur ces deux fils, seul mon mari est "son bâton de vieillesse", l'autre, son préféré au départ, étant obnubilé par son nombril... et en devient malade !!
Quant à moi, mon seul fils vient de partir du foyer sans un mot gentil, au seuil de ma vieillesse.
Mais la vie est une leçon perpétuelle...
En attendant la sagesse,
Amicalement.
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Floriane
" Seul l'amour survit ! "
" La poésie, une source intarissable..."