Les bombes explosent sur les champs,
Le ciel est rouge montrant sa colère,
De voir tous ces malheureux enfants,
Qui pleurent l’absence de leurs pères.
Ces chefs des familles innocents,
Que forcément partent à la guerre.
Les villes sont dessertes des passants,
Rien que des soldats et militaires,
Remplis des cadavres sont les trottoirs,
Et de veuves qui pleurent leurs misères.
Les rues débordées des canons, de tanks,
Et tachées de rouge est le par terre
Par le sang de ces pauvres innocents.
On dirait que par la ville est passé un volcan,
Les enfants ressemblent à des mendiants.
Pourquoi oh ! Dieu l’homme est si méchant !
Qui aime répandre le sang des combattants.
Odieux sont ces pays, où même les jeunes enfants,
Qui n’ont jamais eu un jouet pour s’amuser
Ont un fusil plus grand qu’eux, dans leurs mains,
Ne sachant ni parler, ni lire, ni compter,
Sachant appuyer sur la gâchette pour tuer,
A d’autres enfants qui on encore les dents de lait.
C’est horrible, mon Dieu ! C’est trop cruel !
Je ne conçois pas les guerres,
Même si parfois sont nécessaires,
Elles laissent trop des séquelles,
Aux orphelines comme moi, qui ont perdu leur père.
Paquita