Il était une fois l'homme...j'assume...
Les hommes parlent trop de langues,
La couleur de leur peau les divise,
Sur un élan, ils peuvent s'unir,
Dans un instant, ils veulent se détruire.
Ils mangent la viande dont eux mêmes sont faits,
Le porc, le mouton, dans un drôle de panier.
Les règnes de certains sur la misère des autres
Ordonnent du sang dont ils s'abreuvent sans fin.
Et les siècles qui passent ne démentent guère,
Ces humeurs capricieuses et bien trop dangereuses
La nature si belle aux joyaux d'animaux
Se satisferait sans façon de l'absence des traitres...
Les frontières inventées décident des biens
Et des bateaux affrétés noient des leurres dans des bains.
Ignobles gourmands assoiffés de billets...
Que l'homme est laid sous l'effet d'intérêt.
Dotés d'une intelligence, une tare ...je suppose...
Qui donne l'ivresse d'un pouvoir maléfique.
Des poignées cependant, tentent de leur mieux,
Est ce pour cette raison que l'espèce vit encore?
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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...