Ma drogue douce,
À l’approche de cette fabuleuse fête,
Un dilemme s’opposait dans ma tête,
Écrire des louanges pour ma mère,
Ou une réalité amoureuse satisfaire.
Les vers qui suivent dévoileront le choix,
De l’option choisie, avec grand émoi,
À afflouer mes sentiments pour ma belle,
Qui pour moi, est la succulence de l’hydromel.
Même si dans le brouhaha de nos silences,
Les plaisirs oubliés, écrits par un maître,
Ne sont que latents dans l’absolue patience,
Car d’elle je m’enivre au fond de mon être.
Allongé prés d’elle mes sens explosent sans artifice,
Sa présence est, sans aucun doute, mon inspiratrice,
Drapée d’une nuisette, sagace, assez évocatrice,
Elle stimule mon émoi, comme une bouffée de cannabis.
Dans cette analogie qui n’est pas sans fatum,
Son indépendance et sa volonté de liberté,
Deviennent mon cheval de bataille à l’admirer,
Par l’égayement de mes sommeils, elle est mon opium.
Dans l’espérance d’une longueur de vie câline,
Je retarderai nos âges et leurs épines,
Je repousserai toutes nos idées sibyllines,
Pour que cette mirifique reste mon héroïne.
Antoine
----------------
Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
Mon site : http://www.akpoemes.com
Antoine
EXCLUS pour intolérance envers un membre et non respect des décisions de la Modération.