Lorsque je ferme les yeux,
Et que je pense à ma mère,
Autant la nuit que le jour,
J’ai la gorge qui se serre.

Perdue sans sa compagnie,
Je pleure fort son absence,
En perdant cette bonne amie,
Qui partageai mes souffrances.

J ai perdue cette richesse,
Je mes sens pauvre sans elle,
Sans ses doux mots de tendresse
Ma destinée, encore plus cruelle.

Je me sens cette hirondelle
Qui recherche sa chaleur
A qui on a ligotée ses ailes
Pour ne pas qui s'envole ailleurs.

Lorsque je ferme les yeux,
Et je pense encore à elle,
Je regarde dans les cieux,
Les étoiles son moins belles.


Paquita
poeme ancien

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Auteure de "l'empreinte du diable" autobiographie de 23 années de vie, et "les aléas les chagrins et les petits plaisirs de la vie" aux éditions edilivre.com, internet, librairies

www.edilivre.c...

mêmes maux !


Lorsque je ferme les yeux,
Et que je pense à ma mère,
Autant la nuit que le jour,
J’ai la gorge qui se serre.


amitiés

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merci Virginie et cyrael...