La nuit les grandes villes, dorment dans l’ombre,
Lorsque les chauffards enferment leurs voitures,
Tout est bien silencieux, tout est dans la pénombre,
Seul quelques sans abris, restent dehors pauvres créatures !

Une vieille voiture abandonnée, ferait leurs dépannage,
Ces personnes malheureuses sont remplies de courage,
Lorsque l’hiver est rude se gèleront ce n’est pas dommage !
Qui a peut créer leur circonstance ! si ce n’est pas un long chômage !

Il y a aussi ces quelques jeunes pris dans l’engrainage,
De la poudre maudite, par solidarité de leurs chagrins se font partage.
La nuit les grandes villes sombrent dans le silence,
Dans les boites de nuits règnent la bonne ambiance,

Dans les hôpitaux de garde s'accumulent les urgences,
Chaque demie heure arrive un blessé ou un malade en ambulance,
Et nous dormons tranquillement ignorant ces nuits de silences,
De tout ce qui se passe dans les boulevards, nous avons l’insouciance
Nos lits sont bien douillés et sous nos couettes nos indifférences,

La nuit les grandes villes derrière ses silences, par conséquence,
Cache les grands malheurs, les misères et toutes les souffrances,
De ces créatures sans abris, et toxicomanes qui souffrent en silence.

Paquita

La grande ville n'étale pas dans ces vitrines que de beaux objets précieux, les coulisses cachent bien souvent d'autres sujets malheureux...

Bueno sera, senorita

On dit que pour avoir une nette idée d'une ville , il faut la visiter le soir,

Ton poème le confirme

Une belle lecture,

j'ai aimé cette promenade
nocture, belle plume GUIDE..

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Merci Kader Senkez et cyrael de vos visites et vos commentaires...

coucou!
ton texte est très intense

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la poésie est le parfum de l'ame

Mon blog [img]http://img4.hosting...

Merci infinment lilas pour ton commentaire qui me touche...

on dit que la nuit cache la misère, merci de l'éclairer sous les projecteurs de la vérité.
HONORE

merci Paquita pour ce superbe poème, nous vivons reclus sur nous mêmes de plus en plus pendant que d'autres souffrent et cherchent un peu de chaleur, un poème qui jette un regard de compassion est toujours un beau poème,

bonne journée,


yann

Une dure réalité contée par une plume de talent. Le coeur se serre !!!!!!

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Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage
Jamais je ne m'éveillerai d'entre les mots - Louis Aragon -

Ne te retourne pas, regarde toujours devant toi, c'est là qu'est la vie ! (ma devise)

bien triste en effet cette dure réalité


à toi Paquita

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On a tous le sang de la même couleur