ENTRE AMIES
Toi ma sœur, non utérine,
Toi ma sœur, aujourd’hui, divine
Je t’aperçois mais ne te vois,
Mon amie vient près de moi.
Appel moi ce soir, comme habitude,
Pour être ensemble, sans solitude,
A souffler nos obscurités,
Par un vent de plénitudes,
Nous suppléer, et enfin haranguer,
Certaines de nos incertitudes.
Toi sœurette qui à su sans faire courre,
Te protéger de certains Amours,
Et démontrer à quelques vautours,
Les valeurs vraies, de tes atours.
J’aime à mémoriser nos instants,
Surtout dans ce changement de continent,
Moments communs rayonnants et aimants,
Quand avec toi, j’ai partagé ma Maman.
Tu n’es plus maintenant !
Mais ta présence en moi, semblable à l’autan,
Qui fustige l’auparavant, et élève nos serments,
Comme la vigne dresse ses sarments,
Liens et raisons de nos immuables sentiments.
Je rêve, que dans ta demeure actuelle,
Tu m’observes, d’un air sublime et solennel,
Avec dessein à dire, que vie et mort sont carrousel,
Et représentons tous, un arc-en-ciel.
Antoine
(musique : Surrender, d'Omar Akram)
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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